Nicox garde les yeux fixés sur le NO, Merck fait monter la pression sans savoir s’il parviendra à la maîtriser.
Les actionnaires n’ont plus de pouls ni de tension depuis les 15 ans échecs des NO-molécules, les patients prennent leur « mal » en patience tandis que des laboratoires gardent espoir de commercialiser un médicament.
Le déficit en NO attire la recherche développement de gros laboratoires depuis très longtemps.
L’impact cardio-vasculaire de la Trinitrine continu à faire battre des coeurs. Les patchs de Trinitrine dans la coronaropathie sont utilisées couramment.
L’espoir de Pfizer s’est effondré dans le Développement d’un NO-antiHTA mais s’est redressé grâce au traitement de l’érection.
Nicox s‘est vu refuser la commercialisation du Naproxcinod sur un avantage du risque cardio-vasculaire engendré par le NO associé au Naproxène pour un impact sur la morbidité et mortalité mal démontré.
Bausch and Lomb a été séduit par l’apport du NO dans le traitement du glaucome en reprenant les travaux de Pfizer à Nicox. Le produit est actuellement en phase III.
Merck a connu l’échec de la recherche d’un NO-antiHTA mais a pourtant étendu son partenariat avec Nicox sur certaines maladies cardio-vasculaires avec un nouveau pont nitré.
La quantité de NO délivrée pourrait être optimisée de façon indépendante à la quantité du produit actif associé. Ainsi pour augmenter la quantité de NO, la quantité de la molécule associée de la NO-molécule pourrait être indépendante et en limiter la dose et les effets secondaires. Nous connaîtrons rapidement l’importance de ce pont nitré et si Merck réalise une phase II sur une NO-molécule.
Demain des NO-molécules pourraient faire espérer des patients porteurs de maladies rares, des patients parfois déjà connus malades in utero, des patients que l’on ne saurait décevoir…
A défaut d’avoir une action certaine sur le cerveau, le NO continu à avoir un impact sur les esprits.
La molécule du cœur et du plaisir finira-t-elle par traiter des pathologies de désespérés de la médecine ?