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 Investir dans les biotechnologies

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nicolson




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MessageSujet: Investir dans les biotechnologies   Investir dans les biotechnologies Icon_minitimeSam 20 Fév - 15:08

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Investir sur le secteur des biotechnologies

20 février 2010
By Forcast

FAITES FORTUNE AVEC LES BIOTECHS !


( par Obamma)


(grang merci a l’auteur de cet article)

Investir dans les biotechnologies Cpc9

Biotechnoligie

Le secteur santé va devoir affronter des dèfis majeurs lors des prochaines annèes. Un article du Wall Street Journal aborde les dèfis que l’industrie va devoir affronter. Il s’agit d’un article annoncé en page 1 et paru le jeudi 6Dècembre. Les Big pharmas sont pèsurisées de diffèrentes manières:
1)Les genèriqueurs (nouvelle concurrence, brevets ecourtés)
2)Les politiques (secu sociale, compression des marges)
3)La FDA plus regardante (l’èpisode Vioxx:ètudes mieux menèes: prime aux avancèes)
4)Rachats & Partenariats se multiplient (extension du portif de mol)
5)Externalisation R&D des bigs pharmas (=30% en 2010 pour Pfizer)
Voici la traduction de cet article du WSJ à laquelle j’ai procèdée (lien en bas de page) et dont le titre est « Les Big Pharma font face à un pronostic sévère » en sous titre « L’industrie peine à remplacer ces champions » :
>>> Certains médicaments les plus vendus dans l’histoire de l’industrie vont voir leur protection expirer, permettant aux génériques de se précipiter sur des traitements à des prix très inférieurs. On s’attend à ce que la concurrence générique raffle 67 milliards de $ des ventes américaines annuelles des big pharmas entre 2007 et 2012 (plus de 30médicaments vont perdre leur protection de brevet). C’est grossièrement la moitié des ventes combinées des sociétés pharma aux Etats-Unis en 2007. C’est à partir de 2010 que l’industrie pharmaceutique devra affronter ce challenge. En même temps, le moteur de l’industrie en matière de recherche a calé. Des blockbusters tels que les Lipitor, Plavix et Zyprexa seront en premier lieu touché. La vieille approche de trouver des produits chimiques pour traiter des maladies aboutit de moins et moins.
Le déclin des ventes qui s’approche va toucher de plein fouet l’industrie. « Je pense que l’industrie est condamnée si nous ne changeons pas » avoue Sidney Taurel, le président d’Eli Lilly. En dècembre 2007, Bristol-Myers Squibb a annoncé des plans pour couper de 10 % sa main-d’oeuvre, soit environ 4 300 emplois et fermer ou vendre environ la moitié de ses 27 usines industrielles … avant 2010. Entre 2011 et 2012, le revenu annuel de l’industrie pharma déclinera de manière significative estime Datamonitor, un cabinet de conseil. Ce serait en fin de compte le premier déclin sur les quatre dernières décennies.
Les expirations de brevet sont un problème majeur. En genèral, on accorde aux médicaments 20 ans de protection de brevet, malgrès que les sociétés échouent bien souvent à faire un produit qu’elles peuvent commercialiser avant que la moitié de cette période ne se soit écoulée. Une fois qu’il est lancé sur le marché, cependant, le médicament protégé est fortement profitable : des marges brutes ‘typiques’ sont constatées autour de 90 % à 95 % ( »the patent-protected drug is highly profitable: typical gross margins are 90% to 95% » dans l’article). Quand les brevets d’invention expirent, des fabricants génériques apportent des produits à un prix moindre, très proche du coût de production.
Pfizer sera particulièrement touché lorsque son brevet expirera à partir de 2010 pour son Lipitor, le blockbuster baissant cholestérol qui se classe comme le médicament le plus couronnée de succès jamais lancé. Les pharmaciens et des sociétés de soin rempliront des prescriptions de génériques, réduisant les ventes annuelles du Lipitor à une fraction des 13 milliards de $ constatés pour l’année dernière.
Avant 2012, Merck and Co. fera face à la concurrence générique pour trois médicaments à succès: le traitement d’ostéoporose Fosamax, le Singulair pour l’asthme et le mèdicament pour la tension le Cozaar. Ces trois mèdicaments représentent 44 % du revenu actuel de la société. Après la perte l’année dernière de la protection sur la baisse du cholestérol de Merck – le Zocor: on s’attend à ce que les ventes de ce mèdiacament soient en chute de 82 % cette année par rapport à des ventes de 4.38 milliards de $ en 2005. Un porte-parole de Merck a dit que la société a plusieurs produits dans le pipeline « qui pourraient compenser ses pertes évidentes de brevet ».
A partir de 2010, l’industrie pharmaceutique fera face à une des plus grandes vagues d’expirations de brevet jamais connue, affectant des dizaines de médicaments parmi les mieux vendus. Voici un rèsumé des médicaments qui feront face à une concurrence générique (avec leurs chiffres de ventes les plus récents). La hausse des ventes des génériques n’importerait pas tellement si les laboratoires de recherche créaient de nouveaux mèdicaments. Mais cela n’arrive pas. Pendant cinq ans -de 2002 à 2006- l’industrie a mis sur le marchè 43 % de nouveaux médicaments en moins que dans les cinq dernières années des années 1990, alors même qu’on a constaté plus qu’un doublement des dépenses de recherche et développement.
LES MEDOCS QUI VONT PERDRE LEURS BREVETS DANS LES PROCHAINES ANNEES
Nom/ Sociètè/ Mol/ Utilisation/ Expiration Brevet/ Accord FDA/ Ventes T3 2007 en Mlns $
Actos Eli Lilly / Takeda Pioglitazone Type 2 diabetes 2011 1999 $180
Advair/Seretide GlaxoSmithKline Fluticasone, propionate+salmeterol Asthma 2010 1998/1999 $1,721
Aprovel Sanofi-Aventis / Bristol-Myers Squibb Irbesartan Hypertension (high blood pressure) 2011 1998 $392
Aricept Pfizer / Eisai Donepezil HCI Alzheimer’s 2010 1996 $100
Avandia GlaxoSmithKline Rosiglitazone Diabetes Type 2 2012 1999 $463
Cozaar Merck Losartan Hypertension 2010 1995 $814
Crestor AstraZeneca Rosuvastatin Cholesterol 2012 2003 $691
Diovan/Co-Diovan Novartis Valsartan+hydrochlorothiazide Hypertension 2012 1996 $1,267
Levaquin Johnson & Johnson Levofloxacin Antibiotic 2010 1996 $366
Lexapro Forest Laboratories/ H. Lundbeck Escitalopram Antidepresseur 2012 2002 $559
Lipitor Pfizer Atorvastatin Cholesterol 2010 1996 $3,170
Plavix Sanofi-Aventis / Bristol-Myers Squibb Clopidogrel Anticoagulant 2011 1998 $1,250
Seroquel AstraZeneca Quetiapine Antipsychotic 2011 1997 $1,055
Singulair Merck Montelukast Asthme 2012 1998 $1,018
Symbicort AstraZeneca Budesonide+formoterol Asthme 2012 2000 $371
Taxotere Sanofi-Aventis Docetaxel Cancer 2010 1995 $694
Xalatan Pfizer Latanaprost Glaucome 2011 1995 $402
Zometa Novartis Zoledronic acid Cancer 2012 2001 $318
Zyprexa Eli Lilly Olanzapine Antipsychotic 2011 1996 $1,166
Sources: Datamonitor; Dolphin; WSJ.com research
En octobre, Moody’s, qui note environ 90 milliards de $ de dette des sociétés pharmaceutique américaine, a abaissé sa perspective pour l’industrie du médicament américaine de stable à nègative. On a longtemps considéré l’industrie comme ètant la plus solvable, mais ces dernières années, Moody’s a rétrogradé des géants tels que Schering-Plough Corp., Merck, Bristol-Myers, Pfizer et GlaxoSmithKline PLC. Dans l’explication de la revue de sa perspective, Moody’s indique que les médicaments actuellement en développement n’ont pas autant de potentiel commercial que les pipelines précédents. Alors même que l’Indice Dow Jones World Index est monté de 75 % sur six ans, l’Indice des Produits pharmaceutiques Mondial (le FTSE Global Pharmaceuticals Index) a baissé de 19.8 %.
Tandis que beaucoup de patients profitent de génériques à des coûts inférieurs, d’autres attendent en vain le soulagement de leur souffrance. « Dans ce désordre d’inquiétude, le secteur a implosé en termes de développement de médicament, » a dit P. Murali Doraiswamy, chef de psychiatrie biologique à la Duke University medical school. « Il y a dix ans, nous avions huit ou neuf médicaments différents » en développement dans les troubles de l’anxiete, mais ça s’est transformé maintenant « en une halte. » Le mois dernier avait lieu American Heart Association meeting à Orlando, il y avait seulement deux études très en vue de médicaments expérimentaux à l’ordre du jour. Un, pour l’anti-coagulation-sanguine d’Eli Lilly prasugrel, les résultats affichés ont laissé docteurs et analystes dubitatifs pour qu’il devienne un grand vendeur. Lilly, cependant, s’est dit « très heureux du résultat de l’essai ». L’autre essai ètait une étude postmortem sur le torcetrapib de Pfizer, déjà connu comme un des échecs les plus coûteux de l’industrie, avec 800 millions de $ de dépenses de recherche budgétisées.
« Il n’y a pas eu de nouvelles thérapies qui sont prouvées qu’il pouvait réduire la mort et l’incapacité pour l’atherosclerose depuis l’introduction [de la baisse de cholestérol] des statines » à la fin des années 1980, a dit Richard C. Pasternak, le vice-président de Recherche Clinique Cardiovasculaire de Merck. L’atherosclerose, un habillage de plaque artérielle, est une cause majeure de maladie cardiaque. Face à l’expiration évidente des brevets, des sociétés pharmaceutiques se réorganisent. Dans cinq ans, plusieures d’entre elles pourraient sembler très différentes. Certaines auront procèder à des Fus-Acqu. Leurs structures de coût pourraient sembler plus faibles et plus flexibles. Quelques noms familiers pourraient disparaître lors de fusions. Certaines sociétés s’installeraient en haut du classement et devenant de nouveaux leaders, notamment en incorporant des staffs venus de l’extètieur et tentant de donner un second souffle aux leaders historiques (comme ce fut le cas en 2002 pour le nouveau Président de Pfizer qui ètait auparavant Directeur général de McDonald’s).
« L’ère qui a créé l’industrie pharmaceutique moderne est en fait finie » annonce Richard Evans, un ancien analyste de Wall Street et maintenant consultant pharmaceutique. Pour le moment, l’industrie pharmaceutique demeure toujours fortement profitable. Les ventes continueront de profiter de l’avantage dont disposent leurs médicaments avec les sècuritès sociales et pourront beneficier de la croissance des marchés étrangers. L’industrie continuera à produire de nouveaux médicaments, quoiqu’à un taux trop lent pour supporter la taille et la structure de coût, selon les analystes. Aussi, quelques acteurs, comme Merck, peuvent aller mieux à cause d’une opération R*D plus productive, selon l’analyste de Sanford C. Bernstein Timothy Anderson. Il n’a jamais été facile de prendre un médicament de laboratoire, par la mise à l’épreuve d’animal, et de l’ adapter aux humains. L’industrie estime que seulement 1/5000 à 1/10000 candidats puissent fonctionner. Aussi, beaucoup de médicaments qui marchent dans des tests sur des animaux échouent misérablement chez les gens. Ces chances de succès semblent avoir empiré ces dernières années, incitant un débat sur la cause est la structure gouvernementale réglementaire, d’entreprise ou une confiance et une dépendance scientifique excessive aux produits chimiques plutôt que la biologie.
Beaucoup de dirigeants de compagnies pharmaceutiques blâment la FDA et mettent en exergue leur dèficience ce règulateur. « Très peu de produits sont approuvés aujourd’hui, » dit Bernard Poussot, le directeur général entrant de Wyeth. L’examen minutieux intensifié a contribué aux retards de deux produits chez Wyeth l’ été passé, a rècemment annoncé la société. Des blockbuters potentiels comme le Galvus contre le diabète de Novartis et le medicament contre l’obesite de Sanofi-Aventis le rimonabant ont encore récemment été retardé par la FDA sur des soucis de sécurité. Des soucis de sécurité ont aussi incité l’agence à exiger des ètudes plus larges sur de nouveaux médicaments. Le PDG de Novartis Daniel Vasella dit que cette tendance a fait plus que n’importe quel pour autre conduire à la hausse les dépenses de R & D de l’industrie. Il cite le mèdicament de Novartis sur la tension le Tekturna, approuvé plus tôt cette année, qui avait plus de 6 000 patients à l’essai. Il y a une décennie, une étude semblable aurait pu comporter moins de 1 000 patients, selon le docteur Vasella. Christophe Di Francesco, un porte-parole de la FDA, a dit que « le nombre d’approbations a baissé parce que les sociétés soumettent moins de demande pour l’approbation à la FDA. Le seuil pour ce que nous estimons être une un médicament sûre et efficace n’a pas changé. »
Certains disent que les budgets de recherche gonflants de l’industrie peuvent aller à l’encontre de la productivité. La plupart des sociétés utilisent un système centralisé pour répartir l’argent de recherche et les budgets en croissance ont laissé la prise de décisions à trop peu de personnes qui sont trop trop dètachées de la recherche, suggère M. Evans, qui a travaillé à la filiale américaine de Roche jusqu’à 1998, et a passé plusieurs années comme analyste à Wall Street et qui est maintenant devenu consultant pour une société de conseil de services de santé. Il appelle le système « un cauchemar de complexité. » Pfizer, avec un budget de recherche annuel de 7 milliards de $, le plus èlevé de toutes les industries confondues ne parvient pas pour autant à abonder son offre produit. Encore seulement une poignée de médicaments ont été découverts dans ses laboratoires de recherche internes a été commercialisé la décennie passée. Et vers la fin de l’année dernière, la société a perdu son espoir le plus prometteur quand le Torcetrapib (cholestérol) a échoué suite à des essais peu concluants. Dans une déclaration, Pfizer a signifié qu’il avait le plus grand pipeline de médicaments en « midstage » dans l’histoire de la société et planifie de tripler le nombre de médicaments en Phase III dans son portefeuille avant 2009. Quelques sociétés, notamment GlaxoSmithKline, ont commencé à « sous-traiter » leur R & D dans des groupes plus petits, même s’il est trop tôt pour en mesurer les résultats.
Des observayeurs indiquent que cette industrie, qui a grandi sur le socle de l’industrie chimique européenne de la fin des années 1800, est restée trop dépendante de cette fondation. « Après toutes les avancèes étonnantes dans les 50 dernières années, nous travaillons toujours avec les outils de la première révolution pharmaceutique ne utilisant la chimie avancée pour traiter des symptômes de maladie » a dit M. Taurel de Lilly lors d’ un discours en 2003.
Beaucoup pensent que le salut viendra des biotechnologies. À la différence du développement de médicament traditionnel, à base de chimie, la biotechnologie utilise des outils biologiques pour créer des protéines entières, souvent semblables à ceux qui arrivent dans le corps l’organisme humain. Cette approche a rapporté des médicaments couronnées de succès pour traiter des maladies comme l’anémie, le cancer et la polyarthrite chronique évolutive. Les médicaments des biotechnologies sont particulièrement attrayants parce qu’ils ne font face à aucune concurrence de génériques : aucun régulateur n’existe encore aux Etats-Unis pour avaliser la commercialisation de médicaments génériques issus des biotechnologies. Ainsi jusqu’à ce que le Congrès ne crée un tel appareil règulateur, aucune menace générique n’existera pour venir concurrencer le traitement conte le cance Avastin de Genentech à 4 400 $ par mois, ou le Cerezyme de la biotech Genzyme pour traiter la maladie de Gaucher ( »Gaucher disease ») à 200 000 $ par an. Et les produits de biotechnologie ont tendance à cibler les secteurs spécialisés de médicament qui n’exige pas de publicité de masse ou des armées de personnel commercial.
Donc des big pharma ont dépensé presque 76 milliards de $ depuis 2005 pour acheter des sociétés de biotechnologie, selon Health Care M&A Information Service, une unité d’Irving Levin Associates Inc. Alors qu’en 2005 il y avait 33 deals s’élevant à 16.5 milliards de $, dans les neuf premiers mois de cette année il y avait 49 deals cumulant 28.7 milliards de $, y compris l’acquisition de 15.6 milliards de $ de MedImmune par AstraZeneca parmi d’autres, qui a remporté une guerre face à Eli Lilly. En attendant, Novartis et Pfizer ont récemment annoncé la formation d’unités de biotechnologie internes. Le manque de nouveaux produits a mené l’industrie à investir lourdement dans le marketing et la tactique qui serve au mieux que possible le revenu des produits existants. Les sociétés ont augmenté leurs prix; le prix moyen par pilule est monté de 63 % depuis 2002, selon Michel Krensavage, un analyste chez Raymond James. Les sociétés pharma ont dépensé 5.3 milliards de $ en 2006 en publicité contre 2.5 milliards de $ en 2001 et ont presque triplé leur nombre de représentants des ventes à 100 000 depuis 1995.
L’industrie a dépensé 155 millions de $ en lobbying de janvier 2005 à juin 2006, selon le Center for Public Integrity, sur « une variété de questions sur les limites de la protection de brevets d’invention de médicament lucratifs aux drogues(médicaments) canadiennes inférieures-évaluées empêchantes à être importé. » L’industrie a aussi fait pression avec succès contre la permission du gouvernement fédéral pour négocier le prix de médicament auprès de l’Assistance médicale ‘ »Medicare »), a prècisé le Centre. Les pressions ont concerné des politiciens ainsi que des docteurs et ont endommagé l’image publique de l’industrie.
Conscient que sept des 10 premiers lancements de médicament de 2006 étaient des génériques, des géants pharmaceutiques poussent plus profondément dans cette voie. Sur les neuf premiers mois de cette année, l’unité de génériques de Novartis, Sandoz, a cru environ trois fois plus rapidement que son dèpartement médicaments de marque et a représenté presque 20 % du revenu complet. « L’équilibre change » dit le PDG de Novartis Mr Vasella. Dans les trimestres à venir, « nous continuerons à assister à croissance encore plus rapide » dans les génériques. Après que l’antidépresseur de Pfizer le Zoloft soit tombé dans le domaine public l’année dernière, l’unité de génériques spècialement créée par Pfizer, qui s’appelle Greenstone, a lancé une version générique de son médicament. Johnson et Johnson a aussi son unité de génériques propre. D’autres sociétés traitent avec des fabricants de génériques, leur donnant une licence et le droit de vendre « des génériques autorisés » qui sont identique à un médicament de marque qui fait partie de leur brevet d’invention.
La diversification demeure un dernier espoir. Roche Holding AG a procedé à une prise de contrôle hostile de 3 milliards de $ de Ventana Medical Systems Inc., une société de diagnostic qui fait a rèussi à déterminer si les femmes atteintes du cancer du sein pouvaient recevoir le Herceptin, un mèdicament ciblé que Roche vend. L’offre fait partie d’une large poussée dans le diagnostic opèré par la société, qui a dit en juillet que Severin Schwan, qui dirige l’unité de diagnostic de la société, reprendra l’année suivante en tant que PDG. Jusqu’alors, encore très peu de mouvements ont permis de rèduire les coûts. Pfizer a coupé de 20 % sa force de vente, AstraZeneca a taillé 10 % dans ses effetcifs et Johnson et Johnson a fait rétrécir son personnel de 4 %, selon Bernstein Research. Au moins 50 000 salariés seront dèplacé (vers des pays èmergents) dans les 10 prochaines annèes, selon la société de gestion RegentAtlantic Capital.
Top 10 des rachats dans la santè depuis 1995sur le sol US
Date Cible Acquereur Montant
11/04/99 Warner-Lambert Pfizer $110.39 billion
07/15/02 Pharmacia Corp Pfizer $57.82 billion
12/20/99 Pharmacia & Upjohn Inc. Monsanto Co. $30.66 billion
12/05/05 Guidant Boston Scientific $27.78 billion
11/01/06 Caremark Rx CVS $22.49 billion
07/24/06 HCA Bain Capital, KKR, Merrill Lynch Global Private Equity $20.97 billion
10/27/03 WellPoint Health Networks Anthem $18.80 billion
06/26/06 Pfizer Inc (Consumer Healthcare business) Johnson & Johnson $16.60 billion
04/23/07 MedImmune AstraZeneca $14.28 billion
03/27/01 ALZA Johnson & Johnson $14.23 billion
12/18/06 Biomet Blackstone, Goldman Sachs Capital Partners, KKR, TPG $11.26 billion
Source: Dealogic
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http://blogs.wsj.com/deals/2007/12/06/why-2008-may-be-the-year-of-the-big-pharma -merger/trackback/
AstraZeneca, GlaxoSmithKline et Bristol-Myers Squibb ont aussi récemment suggéré qu’ils externaliseraient au moins une partie de leur fabrication. « Il y a un tas de gens en Inde, en Chine et en Europe de l’Est qui peuvent faire des produits de même qualité que le nôtre, à un coût significativement infèrieur » a annoncé le PDG de Bristol-Myers Squibb James Cornelius. On s’attend à ce que l’externalisation s’étende aussi du côté des recherches. « Nous ne faisons pas encore de recherche fondamentale dans les pays èmergents, mais au cours des prochaines années, pour être couronné de succès nous forcerons l’accent en recherche pour cela, » dit M. Cornelius. Les dèfis industriels vont bousculer les pratiques dans le secteur ainsi que les fondamentaux. Il ya peu, Mr Cornelius annonçait à ses collaborateurs: « je vous parle du 44ème étage d’un bureau situé à Park Avenue » a t il dit. « Dans une annèe, je ne vous parlerai plus du 44ème étage parce que nous allons nous déplacer en bas dans des bureaux moins chers. »
Lien de l’article: « Big Pharma Faces Grim Prognosis Industry Fails to Find New Drugs to Replace Wonders » >>> http://online.wsj.com/article/SB119689933952615133.html
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